Catégorie : Prestations

Couples

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Thérapies de couple conjugothérapie

  • Désir : la baisse de l’attirance pour son partenaire constitue le problème sexuel le plus souvent rencontré, ainsi que le grand tabou au sein des couples, selon une étude IFOP récente « Les Français, le désir, et les cinq sens ». Loin devant les problèmes érectiles, d’éjaculation précoce ou de simulation d’orgasme, la diminution du désir est considérée comme le trouble majeur de la sexualité, pour plus d’une personne sur deux.
  • Autonomie/fusion : la plupart des couples combinent ces 2 modes de fonctionnement. Ils recherchent la fusion dans des domaines tels que l’argent, l’utilisation du temps et les sentiments. Et l’indépendance dans le domaine des idées et des croyances. Il est à noté que l’autonomie est plus souvent une exigence des femmes que des hommes.
  • Conflits/violence : les violences conjugales et les conflits conjugaux sont d’une nature différente. Le conflit peut survenir dans tout type de relation et cristallise une opposition ou un désaccord sur un objet particulier: il met en présence deux personnes qui se trouvent sur un même plan d’égalité, en capacité l’un et l’autre d’exprimer et de faire valoir leur point de vue. Au contraire, les violences conjugales sont déclenchées par l’auteur sous n’importe quel prétexte et visent à vérifier et réaffirmer sa domination sur la victime. Le rapport hiérarchique de domination est définitivement installé et immuable. La victime n’a aucunement droit à l’expression. Chaque « crise » est un renoncement, un affaiblissement pour elle.
  • Incompréhensions : elles sont courantes dans le couple. Si elles se répètent sans cesse, elles peuvent être à l’origine d’un ressenti, d’une fatigue qui vient lorsqu’on pense beaucoup donner sans jamais recevoir en retour. Dans certains couples, petit à petit, les conjoints finissent par ne plus attendre l’un de l’autre ces attentions quotidiennes qui font que l’on se sent aimé. Heureusement ces incompréhensions ne sont pas une fatalité. Il s’agit souvent de comprendre le langage de l’autre et d’apprendre à le parler. Et inversement !
  • Ma place dans le couple : chacun porte en soi, en fonction de ses antécédents personnels et familiaux, de son cadre de vie et de ses expériences amoureuses, un modèle spécifique et singulier du couple et il est exclu de vouloir l’imposer aux autres lorsqu’on a le projet de les écouter avec bienveillance. Le but d’une prise en charge conjugale n’est bien entendu pas de formater les consultants et de prétendre les épanouir à notre manière, mais bien de les soutenir dans un travail de redéfinition de leur relation avec ses enjeux et ses projets propres.
  • Jalousie : la jalousie tient d’abord au désir de posséder l’autre ; le jaloux ne veut pas qu’il lui échappe. Derrière cette volonté d’emprise se cache un état de dépendance affective. Le travail du thérapeute consiste alors à sortir le jaloux de cette relation fusionnelle en lui inculquant les principes de l’autonomie.
  • Argent : avec la sexualité, l’argent est l’un des sujets les plus épineux dans la vie d’un couple. Soit on en parle trop et il alimente brouilles et conflits permanents. Soit on n’en parle pas car on préfère taire nos ressentiments plutôt que de paraître mesquin, pudeur oblige ! Peu de couples arrivent à être parfaitement au clair avec le sujet L’argent, comme la sexualité, a des fonctions affectives et symboliques qui vont bien au-delà de la satisfaction des besoins immédiats et la manière dont il est géré en dit-il long sur la nature de la relation entre deux conjoints. Quand l’argent pose problème dans le couple, il vient généralement concrétiser ou amplifier un conflit préexistant .

Je vous propose un travail avec une co-thérapeute. Cela permettra à chacun d’entre vous d’être entendus et de cheminer vers plus d’harmonie

Zèbres

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Zèbres

Ce terme désigne les personnes qualifiées de précoces, Haut-Potentiels (intellectuels et Emotionnels), surdoués, hyper-efficients…

Pourquoi zèbre? Cet équidé qui est le seul que l’homme ne peut pas apprivoiser, qui se distingue nettement des autres dans la savane tout en utilisant ses rayures pour se dissimuler, qui a un besoin des autres pour vivre et prend un soin très important de ses petits, qui est tellement différent tout en étant pareil ? Et puis, comme nos empreintes digitales, les rayures des zèbres sont uniques et leur permettent de se reconnaître entre eux. Chaque zèbre est différent (Jeanne Siaud-Facchin).

Or, être zèbre n’est ni mieux ni moins bien mais différent.

Apprendre ce qu’est un zèbre, permet de comprendre ses particularités et savoir que d’autres personnes fonctionnent de la même manière.

Ils connaissent des relations aux autres insatisfaisantes et font face à des tourments affectifs souvent dus à leur rigueur de pensée et l’ennui que provoquent des relations superficielles. De plus, ils perçoivent un décalage entre ce qu’ils sont et ce que les autres leur renvoie.

Ils recherchent souvent l’excellence, la perfection, ce qui peut occasionner un phénomène de procrastination. Toutefois, lorsqu’ils amorcent les tâches, leur efficacité permet l’expression de tout leur potentiel qui peut ressembler à de l’hyperactivité.

Cependant, comme leurs capacités leurs semblent évidentes, ils banalisent leurs réussites et focalisent sur leurs échecs.

Ils connaissent parfois des difficultés scolaires ou au travail car, guidés par un sens logique sans faille, ils peuvent faire appel à leur ressenti pour que s’opère de façon spontanée et pas entièrement consciente leur processus d’analyse menant à une conclusion juste mais difficilement explicable. Un décalage social s’installe parfois, de par leur façon différente de penser, de communiquer et de résoudre les problèmes.

Traumas

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Traumas

Agressions, viol, attentats, accidents, catastrophe naturelles, etc… (événement traumatique unique) ou maltraitance, viol conjugal, harcèlement, emprise sectaire, dénigrements, manipulation, guerre civile, etc… (événements traumatiques répétés), les évènements traumatiques sont nombreux.

Le traumatisme physique blesse le corps mais, comme le traumatisme psychique, il atteint le mental.

Ce qui est important n’est pas la gravité du trauma mais la façon dont il a été vécu et ressenti: de « petits » traumas répétitifs peuvent provoquer une atteinte psychique.

C’est pourquoi nous travaillerons sur la mémoire corporelle autant que sur la psyché.

Sexothérapies

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Sexothérapies

Nous pouvons classer les troubles sexuels en 5 catégories :

  • Troubles du désir : manque de désir face à l’idée de la relation sexuelle. Cela touche aussi bien les femmes que les hommes. Les troubles du désir incluent la baisse du désir, l’inhibition du désir et l’aversion pour le rapport sexuel. Une personne peut être excitée et manifester du plaisir lors du rapport sexuel, mais pour autant avoir une perte d’envie.
    Le trouble du désir peut être provoqué par une ensemble de facteurs aussi bien environnementaux (stress du quotidien, anxiété, monotonie conjugale, comparaisons sociales) que psychiques.
  • Troubles de l’excitation : L’excitation corporelle se manifeste chez la femme par la lubrification et chez l’homme par l’érection. Mais l’excitation est aussi psychique. Un manque d’excitation et de plaisir dans le rapport sexuel, hors orgasme, fait également partie du trouble de l’excitation. Chez l’homme : anciennement connue sous le qualificatif d’impuissance, les hommes atteints de dysfonction érectile présentent des difficultés à obtenir ou maintenir une érection.
    Divers facteurs explicatifs peuvent être mis en cause, notamment l’anxiété. Cependant un trouble de l’érection peut être un trouble sentinelle c’est à dire un indice informateur d’autres maladies (hypertension, diabète, etc.) ou conséquent à une prise de certains médicaments.
  • Troubles de l’orgasme : Les femmes avec un trouble de l’orgasme peuvent présenter une anorgasmie coïtale (pas d’orgasme pendant le coït) ou une frigidité qui, elle, concerne une absence de tout type d’orgasme. Chez les hommes, les troubles de l’éjaculation peuvent être de différents types: l’homme peut présenter des difficultés à retenir l’éjaculation avant la pénétration (on parle alors d’éjaculation anté-portas). Elle peut être conséquente à la vue ou au contact du partenaire (hors ou comprenant les zones génitales). On retrouve également le trouble de l’éjaculation prématurée, qui concerne les sujets qui éjaculent avant d’avoir pu donner du plaisir à leur partenaire: l’éjaculation n’est pas maîtrisée.
    Enfin on trouve le trouble de l’éjaculation retardée dans lequel l’homme manifeste un retard dans l’éjaculation. Il existe également l’éjaculation rétrograde ou anéjaculation, pathologie où les sujets ne parviennent pas à éjaculer.
  • Douleurs : La dyspareunie concerne les sujets éprouvant des douleurs pendant ou après les rapports sexuels. Cette douleur peut survenir en dehors de tout contact sexuel et par appréhension. Chez la femme cette douleur peut être superficielle (entrée du vagin) ou plus profonde (vagin et col de l’utérus).
    Chez l’homme, la douleur se focalise au niveau du gland, de la verge et des testicules. Dans les deux cas il peut s’agir de difficultés d’excitation, de causes physiques, d’une précipitation lors de la pénétration.
  • Paraphilies : c’est l’ensemble des attirances ou pratiques sexuelles qui diffèrent des actes traditionnellement considérés comme « normaux » ; celles des pratiques que la loi proscrit sont classées comme des délits ou des crimes sexuels dans différents pays.

Ces troubles peuvent avoir des aspects physiologiques, psychologiques, médicaux, sociaux et culturels.

C’est pourquoi, avant de commencer toute sexothérapie, je vous demanderai de faire les examens médicaux nécessaires pour éliminer toute cause physiologique.

Familles

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Thérapies familiales

  • Conflit/disputes : Les liens du sang ne signifient pas obligatoirement qu’une harmonie règne entre les membres de la famille. Lorsque vous vous retrouvez avec votre famille, des frustrations, des comportements irrationnels ou des blessures peuvent réapparaître. En effet, au sein des siens, chacun porte à la fois l’enfant qu’il a été et l’adulte qu’il est devenu.
  • Communication : dans la grande majorité des familles, parents et enfants savent très bien communiquer entre eux. Mais les réactions émotives sont tellement intenses lors de conflits, que parents et enfants perdent leurs capacités à s’écouter et à bien communiquer.
  • Non-dits : Parents et enfants ont des façons très différentes de vivre leurs émotions, au niveau de leur régulation et de leur expression. Chez les enfants et les adolescents, l’émotion n’est pas toujours bien régulée; les émotions intenses ne sont pas encore apprivoisées et ils éprouvent des difficultés à les contrôler. Ils cherchent à éviter à tout prix les émotions primaires insupportables pour eux comme se sentir en faute, inadéquat ou atteint dans son estime, en réprimant, niant, évitant, ou en passant à l’acte lorsqu’ils ne peuvent plus se contrôler.
  • Qualité des liens/qualité de la relation : La famille implique en effet à la fois un lien et une relation, et le rapport entre parents et enfants se joue sur ces deux tableaux : celui du lien, qui reste quoi qu’il arrive une donnée inaltérable et inconditionnelle et celui de la relation, d’intensité variable, qui peut évoluer, qui est sensible aux événements et à l’histoire familiale.
  • Beau ou mauvais rôle ? : trouver le bon dosage entre la protection de l’enfant plus jeune tout en favorisant le développement de ses capacités, donc maintenir un équilibre entre être chaleureux et impliqués, pour favoriser le développement de l’autonomie, tout en ayant des exigences claires.

Ados

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Ados

  • Comportements à risque : usage de substances psychoactives licites ou illicites, violence, comportements dangereux sur la route, pratiques sportives à risque et comportements sexuels à risque.
  • Problèmes relationnels : difficultés à formuler des demandes, à exprimer des avis, des opinions, des sentiments ; à accepter ou refuser ; à recevoir des critiques négatives ou en faire soi-même ; à recevoir des compliments ou en faire soi-même ; à engager, poursuivre ou mettre un terme à une conversation.
  • Difficultés scolaires : comportement/attitude/méthodologie, difficultés à lire/écrire, difficultés à dire et/ou difficultés en mathématiques.
  • Sentiment d’injustice : intolérance à la frustration, la non-satisfaction de ses désirs est vécue comme une injustice – Parfois situation objective d’injustice qui rend impuissant, d’autant que le sens lui échappe – L’injustice faite à autrui, proche ou inconnu, peut aussi être source de souffrance (atteinte à son idéal, à son code de valeurs morales).
  • Insoumission à l’autorité : s’oppose aux règles établies et aux demandes – Fait souvent porter à d’autres la responsabilité de ses erreurs – Conteste fréquemment tout ce qui lui semble obligatoire – Se fait difficilement des amis – Fera tout pour avoir le dernier mot ou avoir raison – Entretient longtemps du ressentiment – Facilement susceptible ou agacé lorsqu’on souligne son opposition à l’autorité.
  • Manque de respect : petites agressions presque anodines, comportements égoïstes et incivils qui mettent à mal l’estime de soi.
  • Addictions : Dépendance à une substance (licite ou illicite), à un comportement ou à une situation (boulimie, jeu pathologique, achat pathologique, certaines conduites suicidaires, anorexies et conduites sexuelles, kleptomanie, etc.), voire à une relation affective, même si sont ressenties une souffrance, une fréquente culpabilité.
  • Sexualité : L’adolescence est une période de mutations et une transformation de la sexualité accompagne ce processus : d’une sexualité très centrée sur soi, l’ado passe à une sexualité génitale centrée sur l’autre

Enfants

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Enfants

  • Insoumission à l’autorité : s’oppose aux règles établies et aux demandes – Fait souvent porter à d’autres la responsabilité de ses erreurs – Conteste fréquemment tout ce qui lui semble obligatoire – Se fait difficilement des amis – Fera tout pour avoir le dernier mot ou avoir raison – Entretient longtemps du ressentiment – Facilement susceptible ou agacé lorsqu’on souligne son opposition à l’autorité.
  • Problèmes relationnels : difficultés à formuler des demandes, exprimer des avis, des opinions, des sentiments ; à accepter ou refuser ; à recevoir des critiques négatives ou en faire soi-même ; à recevoir des compliments ou en faire soi-même ; à engager, poursuivre ou mettre un terme à une conversation.
  • Difficultés scolaires : comportement/attitude/méthodologie, difficultés à lire/écrire, difficultés à dire et/ou difficultés en mathématiques
  • Sentiment d’injustice : intolérance à la frustration, la non-satisfaction de ses désirs est vécue comme une injustice – Parfois situation objective d’injustice qui rend impuissant, d’autant que le sens lui échappe – L’injustice faite à autrui, proche ou inconnu, peut aussi être source de souffrance (atteinte à son idéal, à son code de valeurs morales).
  • Comportements à risque : violence, comportements dangereux sur la route, pratiques sportives à risque.
  • Addictions : Dépendance à une substance (licite ou illicite), à un comportement ou à une situation (boulimie, jeu pathologique, achat pathologique, certaines conduites suicidaires, anorexies et conduites sexuelles, kleptomanie, etc.), voire à une relation affective, même si sont ressenties une souffrance, une fréquente culpabilité.

Adultes

Psycho-SomatoThérapeute

Individuel - Couples - Familles - Adultes - Ados - Enfants - Zèbres

Pierre-Olivier Souverain

Uzès & Nîmes - Gard (30)

Adultes

  • Comprendre mon parcours de vie : il s’agit de découvrir, comprendre et corriger ce qui me constitue.
  • Surmonter ses traumas : Tout le monde a vécu des situations traumatiques. Atténuer leur charge émotionnelle permet de changer ses comportements.
  • Développer vos potentiels : découvrir ses ressources propres afin de vivre mieux
  • Interactions avec l’environnement : Avoir une relation sereine et apaisée avec les membres de vos cercles familial, amical et professionnel.
  • Troubles du comportement : Abandonner les comportements inappropriés adoptés dans certaines situations
  • Sexualité : Elle est le siège de nombreuses projections : sociales, culturelles, mythes, croyances, sensations, sentiments…